21 octobre 2009
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Mardi 20 octobre, sur ARTE, un document d'actualité sur la grippe A et, plus précisément, sur les campagnes de vaccination initiées dans les divers pays d'Europe.
D'abord, nous avons une impression de déjà vu, mais une bonne remise en ordre, n'est-ce pas, ça ne fait jamais de mal. Et, au milieu du ronron, un coup de tonnerre : les membres du gouvernement, en Allemagne (mais pourquoi en irait-il autrement en France ?), recevront un vaccin sans adjuvant.
On se pince, on se dit "ils n'oseront pas", et si !
Le citoyen lamda peut se rendre à l'évidence : les labos, histoire de toucher le jackpot, vont nous injecter massivement des cochonneries (c'est le terme qui convient
pour une "grippe porcine" ); mais ils sont assez conscients du problème pour ne pas s'attirer les foudres des puissants ...
qui les laissent faire ; le danger ne les concernera donc pas.
A défaut d'être devenus altruistes, depuis l'affaire du sang contaminé, nous imaginions que les gouvernants avaient appris la prudence.
Nous les croyions devenus exagérément précautionneux, victimes du syndrome de la canicule. C'était agaçant mais pardonnable. N'est-ce pas, on n'est jamais trop prudent.
Nous n'y étions pas du tout.
Nulle inconscience ni pusillanimité chez eux ; ils sont parfaitement au courant des risques.
Résumons :
Ils organisent la panique pour créer le besoin de vaccins, la demande grandit. Leurs copains, industriels du vaccin sont ravis et fourbissent les armes.
Pour y répondre, il faut augmenter la productivité des labos. Heureusement, ces derniers avaient tout prévu et trouvé la solution : les adjuvants.
L'idée est très simple (la réalisation, un peu moins).
Rappel : le principe de la vaccination est de mettre l'organisme en contact avec un agent pathogène affaibli pour générer une réaction de défense : la production d'anticorps, l'immunité. Résultat : lorsque le vrai méchant microbe bien virulent monte à l'attaque, bing ! les anticorps le nettoient avant qu'il ait eu le temps de dégainer les armes.
Normalement, il faut ce qu'il faut, on ne peut obtenir de réaction intéressante qu'à partir d'une dose suffisante de vaccin. C'est ici qu'entre en scène l'inventivité des labos ; ils ont trouvé des adjuvants, par exemple l’adjuvant AS03, un mélange de squalène et de polysorbate. Ces substances ont été mises en cause dans le passé mais, au diable la prudence (!), elles agissent, à ce que j'ai compris, en excitant l'immunité du sujet vacciné, ce qui lui permet de réagir à partir d'une quantité bien plus faible d'antigène.
Et l'antigène, dans le vaccin... c'est justement ce qui coûte le plus cher !
A ce qu'ils essaient de nous faire croire : "dormez, braves gens on veille sur vous".
Alors, si leur camelote est tellement irréprochable, pourquoi ne l'appliquent-ils pas aux puissants ?
Ils auraient droit, eux aussi, à quelques coups de folie de leur immunité, ils pourraient aprécier tout le charme des maladies auto-immunes. Il en est de véritablement époustouflantes : la polyarthrite, le diabète insulino-dépendant, la sclérose en plaques ...c'est autrement plus chic d'en être atteint que d'attrapper la vulgaire grippe de tout le monde.
Et pourtant, non, on ne leur fera pas essayer les adjuvants. Pas fous les industriels, quand on veut caser son produit chez un client, on ne s'amuse pas à intoxiquer le directeur des achats.
Pour ce qui est du vulgum pecus, la grande masse des utilisateurs du médicament, ils auront droit aux substances incriminées. Libre à eux de s'offrir un voyage à Lourdes (ou à La Mecque selon les goûts).
Bon, il n'y a pas de quoi en faire un scandale, la vaccination n'est pas obligatoire, si vous n'en voulez pas, vous n'avez qu'à refuser. Fort bien...
Mais on en connait d'autres, des éléments facultatifs qui ne se refusent pas. Essayez de vous faire embaucher dans une entreprise en précisant que vous refusez de faire des heures supp...
Il y aura des pressions et les gens cèderont.
L'inégalité n'est pas qu'une question de fortune.
Tout le monde ne dispose pas des mêmes informations, des mêmes moyens de se faire un jugement et de la force de dire NON.
L'attitude des labos et des autorités de santé est un scandale, les uns sont plus exposés que les autres.
C'est la marque du mépris des riches qui savent envers la foule des pauvres, des dominés et des ignorants.
Liberté, Egalité et Fraternité étaient bonnes filles mais aujourd'hui, elles ont mauvaise mine.
Elle ont peut-être attrappé la grippe.
D'abord, nous avons une impression de déjà vu, mais une bonne remise en ordre, n'est-ce pas, ça ne fait jamais de mal. Et, au milieu du ronron, un coup de tonnerre : les membres du gouvernement, en Allemagne (mais pourquoi en irait-il autrement en France ?), recevront un vaccin sans adjuvant.
On se pince, on se dit "ils n'oseront pas", et si !
Le citoyen lamda peut se rendre à l'évidence : les labos, histoire de toucher le jackpot, vont nous injecter massivement des cochonneries (c'est le terme qui convient

A défaut d'être devenus altruistes, depuis l'affaire du sang contaminé, nous imaginions que les gouvernants avaient appris la prudence.
Nous les croyions devenus exagérément précautionneux, victimes du syndrome de la canicule. C'était agaçant mais pardonnable. N'est-ce pas, on n'est jamais trop prudent.
Nous n'y étions pas du tout.
Nulle inconscience ni pusillanimité chez eux ; ils sont parfaitement au courant des risques.
Résumons :
Ils organisent la panique pour créer le besoin de vaccins, la demande grandit. Leurs copains, industriels du vaccin sont ravis et fourbissent les armes.
Pour y répondre, il faut augmenter la productivité des labos. Heureusement, ces derniers avaient tout prévu et trouvé la solution : les adjuvants.
L'idée est très simple (la réalisation, un peu moins).
Rappel : le principe de la vaccination est de mettre l'organisme en contact avec un agent pathogène affaibli pour générer une réaction de défense : la production d'anticorps, l'immunité. Résultat : lorsque le vrai méchant microbe bien virulent monte à l'attaque, bing ! les anticorps le nettoient avant qu'il ait eu le temps de dégainer les armes.
Normalement, il faut ce qu'il faut, on ne peut obtenir de réaction intéressante qu'à partir d'une dose suffisante de vaccin. C'est ici qu'entre en scène l'inventivité des labos ; ils ont trouvé des adjuvants, par exemple l’adjuvant AS03, un mélange de squalène et de polysorbate. Ces substances ont été mises en cause dans le passé mais, au diable la prudence (!), elles agissent, à ce que j'ai compris, en excitant l'immunité du sujet vacciné, ce qui lui permet de réagir à partir d'une quantité bien plus faible d'antigène.
Et l'antigène, dans le vaccin... c'est justement ce qui coûte le plus cher !
A ce qu'ils essaient de nous faire croire : "dormez, braves gens on veille sur vous".
Alors, si leur camelote est tellement irréprochable, pourquoi ne l'appliquent-ils pas aux puissants ?
Ils auraient droit, eux aussi, à quelques coups de folie de leur immunité, ils pourraient aprécier tout le charme des maladies auto-immunes. Il en est de véritablement époustouflantes : la polyarthrite, le diabète insulino-dépendant, la sclérose en plaques ...c'est autrement plus chic d'en être atteint que d'attrapper la vulgaire grippe de tout le monde.
Et pourtant, non, on ne leur fera pas essayer les adjuvants. Pas fous les industriels, quand on veut caser son produit chez un client, on ne s'amuse pas à intoxiquer le directeur des achats.
Pour ce qui est du vulgum pecus, la grande masse des utilisateurs du médicament, ils auront droit aux substances incriminées. Libre à eux de s'offrir un voyage à Lourdes (ou à La Mecque selon les goûts).
Bon, il n'y a pas de quoi en faire un scandale, la vaccination n'est pas obligatoire, si vous n'en voulez pas, vous n'avez qu'à refuser. Fort bien...
Mais on en connait d'autres, des éléments facultatifs qui ne se refusent pas. Essayez de vous faire embaucher dans une entreprise en précisant que vous refusez de faire des heures supp...
Il y aura des pressions et les gens cèderont.
L'inégalité n'est pas qu'une question de fortune.
Tout le monde ne dispose pas des mêmes informations, des mêmes moyens de se faire un jugement et de la force de dire NON.
L'attitude des labos et des autorités de santé est un scandale, les uns sont plus exposés que les autres.
C'est la marque du mépris des riches qui savent envers la foule des pauvres, des dominés et des ignorants.
Liberté, Egalité et Fraternité étaient bonnes filles mais aujourd'hui, elles ont mauvaise mine.
Elle ont peut-être attrappé la grippe.
Francesca 31/10/2009 01:42
Francesca 30/10/2009 10:25
Tipanda 30/10/2009 22:02
Janine Thombrau et Bruno 22/10/2009 19:23
Tipanda 22/10/2009 23:52
Janine Thombrau et Bruno 22/10/2009 14:01
Tipanda 22/10/2009 15:29
Janine Thombrau et Bruno 22/10/2009 09:53
Tipanda 22/10/2009 11:33