8 septembre 2009
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19:25
C'est qu'elle m'agace, la grippe ! Elle a eu beau me circonvenir, Je me suis bien promis de ne pas lui succomber. Mais il est bien difficile d'échapper à la saga des virus
; alors, tant qu'à subir, autant essayer d'y comprendre quelque-chose.
De temps en temps, au gré du flot insipide on pêche un mot qui donne envie de creuser.
Le dernier arrivé à la surface est "adjuvant"....
Qu'est-ce ?
Résumons : un adjuvant est une espèce de catalyseur, un produit ajouté au vaccin pour stimuler la réponse immunitaire, donc obtenir le même résultat à partir de moins d'antigène. Double avantage : pour le laboratoire qui fabrique et vend, il se voit très vite en mesure de vacciner des foules à moindre coût, et pour les politiques victimes du syndrome-canicule, ils sont prêts à tout plutôt que manquer le coche".
Immédiatement, une objection propre à refroidir les enthousiasmes : comment vont se comporter les maladies auto-immunes, ne vont-elles pas se réveiller ?
Après quelques hésitations, les "experts" consultés avouent qu'il vaudrait mieux ne pas vacciner, du moins pas avec ces adjuvants, les sujets atteints ou menacés de maladies auto-immunes.
On se rappelle les malades qui accusent le vaccin contre l'hépatite B de leur avoir transmis la sclérose en plaques, maladie auto-immune. C'est un serpent de mer jamais éteint ; tout le monde a déjà fait le rapprochement, un peu vite.
On peut envisager l'acceptation d'une prise de risque pour affronter une maladie gravissime comme l'hépatite B (en limitant la vaccination aux publics vraisemblablement menacés). La même attitude est parfaitement déraisonnable dans le cas d'une simple grippe pas plus mortelle que celle qui revient tous les hivers.
Sortons de ce débat, il n'a pas de sens.
Il nous reste à questionner les vrais acteurs du scandale, les laboratoires avides et leurs affidés politiques qui n'hésitent pas à mettre en danger la santé qu'ils sont censés protéger. Cette faute, pour ne pas parler de crime, s'accomplit uniquement pour l'argent.
Ah, oui, les fameuses maladies auto-immunes comprennent, parmi d'autres joyeusetés, des petits bobos aussi négligeables que le diabète, la polyarthrite ou la sclérose en plaques.
Sans importance. N'est-ce pas ?
De temps en temps, au gré du flot insipide on pêche un mot qui donne envie de creuser.
Le dernier arrivé à la surface est "adjuvant"....
Qu'est-ce ?
Résumons : un adjuvant est une espèce de catalyseur, un produit ajouté au vaccin pour stimuler la réponse immunitaire, donc obtenir le même résultat à partir de moins d'antigène. Double avantage : pour le laboratoire qui fabrique et vend, il se voit très vite en mesure de vacciner des foules à moindre coût, et pour les politiques victimes du syndrome-canicule, ils sont prêts à tout plutôt que manquer le coche".
Immédiatement, une objection propre à refroidir les enthousiasmes : comment vont se comporter les maladies auto-immunes, ne vont-elles pas se réveiller ?
Après quelques hésitations, les "experts" consultés avouent qu'il vaudrait mieux ne pas vacciner, du moins pas avec ces adjuvants, les sujets atteints ou menacés de maladies auto-immunes.
On se rappelle les malades qui accusent le vaccin contre l'hépatite B de leur avoir transmis la sclérose en plaques, maladie auto-immune. C'est un serpent de mer jamais éteint ; tout le monde a déjà fait le rapprochement, un peu vite.
On peut envisager l'acceptation d'une prise de risque pour affronter une maladie gravissime comme l'hépatite B (en limitant la vaccination aux publics vraisemblablement menacés). La même attitude est parfaitement déraisonnable dans le cas d'une simple grippe pas plus mortelle que celle qui revient tous les hivers.
Sortons de ce débat, il n'a pas de sens.
Il nous reste à questionner les vrais acteurs du scandale, les laboratoires avides et leurs affidés politiques qui n'hésitent pas à mettre en danger la santé qu'ils sont censés protéger. Cette faute, pour ne pas parler de crime, s'accomplit uniquement pour l'argent.
Ah, oui, les fameuses maladies auto-immunes comprennent, parmi d'autres joyeusetés, des petits bobos aussi négligeables que le diabète, la polyarthrite ou la sclérose en plaques.
Sans importance. N'est-ce pas ?