22 septembre 2008
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Impossible de traverser un 22 septembre sans évoquer Brassens.
"Un 22 septembre, au diable vous partîtes,
et depuis, chaque année, à la date susdite, je mouillais mon mouchoir, en souvenir de vous ...
... L'hirondelle, en partant, ne fera plus l'automne. Le 22 septembre, aujourd'hui je m'en fous.
Et c'est triste de n'être plus triste sans vous."
Charme vénéneux de la nostalgie. On souffre mais on aime sa souffrance.
Ne souffrent que les vivants ... Nous voilà consolés.
"Un 22 septembre, au diable vous partîtes,
et depuis, chaque année, à la date susdite, je mouillais mon mouchoir, en souvenir de vous ...
... L'hirondelle, en partant, ne fera plus l'automne. Le 22 septembre, aujourd'hui je m'en fous.
Et c'est triste de n'être plus triste sans vous."
Charme vénéneux de la nostalgie. On souffre mais on aime sa souffrance.
Ne souffrent que les vivants ... Nous voilà consolés.
Michel Sender 22/09/2008 16:19
Jacqueline Simon Tipanda 23/09/2008 10:47