Formule empruntée à Cavanna ( à chacun son dû ) pour esssayer de résoudre une interrogation qui est pour moi sans réponse.
Nous avons tous connu des enfants et des adolescentsqui voulaient devenir médecins ou vétérinaires. Ils sont, en géneral, motivés par l'intention de soigner et le but de guérir des humains ou des
animaux. Devant la longueur et la difficulté des études, certains se découragent mais d'autres affrontent l'adversité et persévèrent. On suppose leur vocation bien accrochée.
Au bout de la course, il en est qui deviendront médecins légistes ou vétérinaires inspecteurs des abattoirs. Ils ne soigneront personne et passeront leurs journées dans la
fréquentation des cadavres.
Des professions très utiles, assurément, mais complètement hors de leur vocation de départ.
Place à l'ironie, on peut constater que, dans ces spécialités, on est à l'abri des réclamations du client ; mais ce n'est pas suffisant pour justifier l'engagement d'une vie.
Si quelqu'un a compris, j'aimerais qu'il éclaire ma lanterne.